Evoluant habituellement dans les sphères de l'improvisation électro-acoustique, Giuseppe Ielasi signe un nouvel album solo bien éloigné de ses précédents passages chez Sedimental, Erstwhile, Bowindo... et même de son précédent disque chez Häpna, alors centré sur des exercices de style à la guitare.
Pour son retour sur le label suédois, Giuseppe Ielasi opte pour des directions assez inattendues: une instrumentation riche, des constructions progressives imprégnées par le dub et l'ambient, parfois réminiscentes de Pan American et de Loscil.
Un mp3: Track 4.
Pour son retour sur le label suédois, Giuseppe Ielasi opte pour des directions assez inattendues: une instrumentation riche, des constructions progressives imprégnées par le dub et l'ambient, parfois réminiscentes de Pan American et de Loscil.
Un mp3: Track 4.
Si elle tire son nom du morceau Losing my Taste for the Night Life d'Arthur Russell, la récente collaboration entre Giuseppe Ielasi et Howard Stelzer se déroule - comme l'on pouvait s'y attendre - loin du registre de l'icône new-yorkaise.
Sur la base de manipulations de guitare, d'électronique et de cassettes, le duo improvise les développements d'une mixture sonore hybride et pleinement cohérente... avec une dernière piste qui n'est pas sans évoquer Oren Ambarchi dans sa minutieuse approche des tonalités. Un extrait par ici.
Sur la base de manipulations de guitare, d'électronique et de cassettes, le duo improvise les développements d'une mixture sonore hybride et pleinement cohérente... avec une dernière piste qui n'est pas sans évoquer Oren Ambarchi dans sa minutieuse approche des tonalités. Un extrait par ici.
- Les sites des labels Häpna, Intransitive (fondé par H.Stelzer), Fringes (fondé par G.Ielasi) et Korm Plastics (où l'on retrouve notamment la série Brombron, dont est issue la collaboration Stelzer/Ielasi).