Sans doute rangés un peu trop vite au rayon free-folk, James Toth et sa bande sont finalement apparus sous de multiples visages au fil de leur vaste discographie, laissant entrevoir des affinités pour le blues, pour le rock, parfois pour des couches plus denses et plus noisy, mais aussi pour un jazz assez imprégné du son ESP-Disk.
Une composante que l'on retrouve ça et là sur Gipsy Freedom, en particulier grâce aux incursions du saxophoniste Daniel Carter. A noter au passage, la présence d'un autre invité, celle de l'inépuisable Pete Nolan (Magik Markers, Spectre Folk, GHQ...).
Outre ces escapades cuivrées et quelques titres qui évoquent parfois le Jackie-O Motherfucker de la période Wow/The Magick Fire Music, l'album ose aussi les longs périples sur fond de duo basse/batterie décontracté et quelques intermèdes pop plutôt réussis. Quelques morceaux choisis: Didn't it Rain, Hey Pig He Stole my Sound et Dead End Days with Caesar.
Une composante que l'on retrouve ça et là sur Gipsy Freedom, en particulier grâce aux incursions du saxophoniste Daniel Carter. A noter au passage, la présence d'un autre invité, celle de l'inépuisable Pete Nolan (Magik Markers, Spectre Folk, GHQ...).
Outre ces escapades cuivrées et quelques titres qui évoquent parfois le Jackie-O Motherfucker de la période Wow/The Magick Fire Music, l'album ose aussi les longs périples sur fond de duo basse/batterie décontracté et quelques intermèdes pop plutôt réussis. Quelques morceaux choisis: Didn't it Rain, Hey Pig He Stole my Sound et Dead End Days with Caesar.