Quittons le Castle Anthrax pour un petit tour de soucoupe volante, cap sur Saturne, avec ce double live enregistré à NY en 1973: une invitation lancée par Leo en début d'année, pour renouer avec le tout meilleur de ce que Sun Ra et son Space Arkestra avaient à proposer.
Ils sont vint-cinq sur scène: armada de cuivres, percussions par torrents, voix, contrebasse, flûte, basson, hautbois, clarinette... tous partent à la conquête d'un monde où se mélangent free-jazz, racines bop et registre typique du big-band, soul et extravagances des claviers (piano, moog ou orgue), sur des standards cosmiques (le mythique Space is the Place, par exemple) comme au cours de longues improvisations.
Le capitaine Ra surplombe cette jungle luxuriante, symbole d'abondance et d'enthousiasme, parfaitement secondé par des lieutenants en grande forme (outre June Tyson et ses élégantes déclamations, on pense notamment aux saxophonistes John Gilmore et Marshall Allen, au bassiste Ronnie Boykins ou encore au batteur Lex Humphries...). Et lorsque la formation s'élève, on touche alors à de très grands moments.
Du son et 58 minutes d'images:
Ils sont vint-cinq sur scène: armada de cuivres, percussions par torrents, voix, contrebasse, flûte, basson, hautbois, clarinette... tous partent à la conquête d'un monde où se mélangent free-jazz, racines bop et registre typique du big-band, soul et extravagances des claviers (piano, moog ou orgue), sur des standards cosmiques (le mythique Space is the Place, par exemple) comme au cours de longues improvisations.
Le capitaine Ra surplombe cette jungle luxuriante, symbole d'abondance et d'enthousiasme, parfaitement secondé par des lieutenants en grande forme (outre June Tyson et ses élégantes déclamations, on pense notamment aux saxophonistes John Gilmore et Marshall Allen, au bassiste Ronnie Boykins ou encore au batteur Lex Humphries...). Et lorsque la formation s'élève, on touche alors à de très grands moments.
Du son et 58 minutes d'images: